Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice

« S’il y avait le feu chez vous, que prendriez-vous en premier ? » A cette question, Cocteau avait répondu « le feu ! ». Il y a fort à parier qu’Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice, aurait la même réponse. Feu sacré.
A sa façon, c’est une entertainer à l’anglo-saxonne, qui fait d’une représentation théâtrale une partie de rodéo, sans temps mort, déflagration d’énergie brute et joyeuse. Et pourtant, il y a aussi quelque chose en elle d’une dentellière tout en douceur, tissant infiniment la soie de ses spectacles. Jolie mélange…Un peu Tchekhov par son prénom, 100% Brook par le nom de son père et quant à sa mère de théâtre, ce serait « Ariane Mnouchkine », dit-elle en éclatant de rire ! Quand on rencontre Irina Brook, on voit d’abord l’ange, mais son démon des planches lui fait monter des mises en scène bondissantes, plus posées d’autres fois. Au final, c’est le jaillissement des choses sur la scène, un certain élan et une ferveur, qui emportent l’adhésion en face de son travail. On en aura un aperçu avec ses 2 créations pour la nouvelle saison du Théâtre National de Nice, dont elle est la directrice depuis cette année : Peer Gynt d’Henrik Ibsen (du 25 septembre au 18 octobre) et Shakespeare’Sister ou La Vie matérielle, d’après Virginia Woolf et Marguerite Duras (du 9 au 25 janvier). Une suggestion pour finir : loin de ses registres de prédilection certes, on verrait pourtant bien Irina Brook monter un Cyrano comme un cheval fou au galop, qu’elle saurait dompter, avec grâce et panache. Assurément !

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Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice

« S’il y avait le feu chez vous, que prendriez-vous en premier ? » A cette question, Cocteau avait répondu « le feu ! ». Il y a fort à parier qu’Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice, aurait la même réponse. Feu sacré.
A sa façon, c’est une entertainer à l’anglo-saxonne, qui fait d’une représentation théâtrale une partie de rodéo, sans temps mort, déflagration d’énergie brute et joyeuse. Et pourtant, il y a aussi quelque chose en elle d’une dentellière tout en douceur, tissant infiniment la soie de ses spectacles. Jolie mélange…Un peu Tchekhov par son prénom, 100% Brook par le nom de son père et quant à sa mère de théâtre, ce serait « Ariane Mnouchkine », dit-elle en éclatant de rire ! Quand on rencontre Irina Brook, on voit d’abord l’ange, mais son démon des planches lui fait monter des mises en scène bondissantes, plus posées d’autres fois. Au final, c’est le jaillissement des choses sur la scène, un certain élan et une ferveur, qui emportent l’adhésion en face de son travail. On en aura un aperçu avec ses 2 créations pour la nouvelle saison du Théâtre National de Nice, dont elle est la directrice depuis cette année : Peer Gynt d’Henrik Ibsen (du 25 septembre au 18 octobre) et Shakespeare’Sister ou La Vie matérielle, d’après Virginia Woolf et Marguerite Duras (du 9 au 25 janvier). Une suggestion pour finir : loin de ses registres de prédilection certes, on verrait pourtant bien Irina Brook monter un Cyrano comme un cheval fou au galop, qu’elle saurait dompter, avec grâce et panache. Assurément !

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Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice

« S’il y avait le feu chez vous, que prendriez-vous en premier ? » A cette question, Cocteau avait répondu « le feu ! ». Il y a fort à parier qu’Irina Brook, la nouvelle directrice du Théâtre National de Nice, aurait la même réponse. Feu sacré.
A sa façon, c’est une entertainer à l’anglo-saxonne, qui fait d’une représentation théâtrale une partie de rodéo, sans temps mort, déflagration d’énergie brute et joyeuse. Et pourtant, il y a aussi quelque chose en elle d’une dentellière tout en douceur, tissant infiniment la soie de ses spectacles. Jolie mélange…Un peu Tchekhov par son prénom, 100% Brook par le nom de son père et quant à sa mère de théâtre, ce serait « Ariane Mnouchkine », dit-elle en éclatant de rire ! Quand on rencontre Irina Brook, on voit d’abord l’ange, mais son démon des planches lui fait monter des mises en scène bondissantes, plus posées d’autres fois. Au final, c’est le jaillissement des choses sur la scène, un certain élan et une ferveur, qui emportent l’adhésion en face de son travail. On en aura un aperçu avec ses 2 créations pour la nouvelle saison du Théâtre National de Nice, dont elle est la directrice depuis cette année : Peer Gynt d’Henrik Ibsen (du 25 septembre au 18 octobre) et Shakespeare’Sister ou La Vie matérielle, d’après Virginia Woolf et Marguerite Duras (du 9 au 25 janvier). Une suggestion pour finir : loin de ses registres de prédilection certes, on verrait pourtant bien Irina Brook monter un Cyrano comme un cheval fou au galop, qu’elle saurait dompter, avec grâce et panache. Assurément !

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