Dior signe le retour de la chevalière avec “Lucky Dior”

L’abeille, le muguet, le trèfle, la rose, l’étoile, l’ovale… En hommage au caractère superstitieux de Christian Dior, les chevalières Lucky Dior sont décorées des emblèmes de la Maison et se portent seules ou accumulées, comme de véritables porte-bonheur. Décryptage.

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L’abeille. « Une petite ruche pleine à craquer, voilà ce qu’était ma maison lorsque je présentai ma première collection », écrit Christian Dior dans ses mémoires. Cette métaphore des ateliers du 30, avenue Montaigne évoque aussi les gestes des couturières que l’on surnomme « les abeilles ». Consciencieuses et affairées, elles travaillaient pour le couturier tel un essaim. Le petit insecte noir et jaune signe, d’une broderie modernisée et épurée, les collections Dior Homme. Aujourd’hui, l’abeille se pose sur la chevalière et contraste avec un onyx noir profond comme la force et la vitalité qu’il procure.

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Le muguet. Superstitieux, Christian Dior chérissait le muguet, symbole du bonheur, annonçant l’arrivée du printemps et de la haute couture. Attaché à son parfum et à ses corolles féminines, il en cousait un brin séché à l’ourlet de chacune de ses robes. Cette fleur que l’on retrouve brodée sur les créations de la Maison décore avec délicatesse le quartz rose pâle de la chevalière apportant l’amour.

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Le trèfle. Le trèfle à quatre feuilles accompagnait chaque jour Monsieur Dior sur un trousseau de charms qu’il gardait dans la poche de son costume. Inséparable de ce symbole de chance, le couturier accordait une importance considérable aux gris-gris qui guidaient son destin. Comme une amulette, le trèfle se pare d’une pierre verte, l’amazonite, inspirant la confiance.

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La rose. Tendre souvenir de son jardin d’enfance à Granville, la rose évoque l’amour que Christian Dior portait à sa mère qui lui a donné le goût des fleurs et de l’élégance féminine. Sur la chevalière, la rose est finement dessinée sur un lapis bleu marine offrant la sagesse.

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L’étoile. Tel un signe du destin, une étoile s’est posée sur le chemin du couturier alors qu’il devait prendre la décision qui changera le cours de sa vie. Christian Dior interprète cette trouvaille comme une aide spirituelle qui l’incite à suivre sa voie et à ouvrir sa propre maison de couture. Conservée comme un porte-bonheur dans son atelier, elle est ici associée à l’œil-de-tigre, une pierre brune, protectrice et solaire.

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L’ovale. Fasciné par l’élégance du XVIIIe siècle, Monsieur Dior acquiert des fauteuils médaillon pour asseoir ses invités aux défilés. Devenu emblématique, l’ovale surmonté d’un nœud Fontanges est aujourd’hui un code de la Maison. Féminin et sensuel, il décore les boutiques ou les flacons de parfum. Sur ce bijou, il se marie à l’élégance prune de la fluorite délivrant protection et harmonie.

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www.dior.com
38 Boulevard de la Croisette, 06400 Cannes.